Ce que le vent charrie
Et que la mer emporte
Contreforts douloureux d'une peine viscérale
Devient au fil des jours rien de plus que l'écume.
Un souvenir, toujours, à l'amère fortune
Qui emplit de chaleur la beauté hivernale.
vendredi 21 novembre 2014
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
En réponse à un poème sur la page de qqn sur FB.
RépondreSupprimer